Description
Un facehugger du film d’horreur de science-fiction de Ridley Scott Alien. Après que le navire minier Nostromo ait reçu une transmission d’une lune désolée, l’équipage a découvert des œufs mystérieux dans les entrailles d’un navire écrasé. Kane (John Hurt) s’en est trop approché et une créature s’est attachée à son visage. Le capitaine Dallas (Tom Skerritt) et le navigateur Lambert (Veronica Cartwright) l’ont amené à bord du Nostromo, mettant le reste de l’équipage en danger. Ce facehugger a été obtenu à partir de la collection de son créateur, la légende des effets spéciaux Roger Dicken, qui en est le propriétaire depuis la fin du tournage. Le facehugger a été conçu à l’origine par l’artiste surréaliste suisse HR Giger, qui était responsable de la création de l’esthétique Alien, y compris l’Alien lui-même, le navire écrasé sur lequel ils ont enquêté (« The Derelict ») et le « Space Jockey », la grande créature qu’ils ont trouvée à bord. Cependant, la conception initiale du facehugger de Giger a été considérablement modifiée. C’était à l’origine une créature plus grande qui se serait enroulée autour de l’extérieur du casque de Kane. Il a ensuite été repensé en collaboration avec le réalisateur Scott, l’écrivain Dan O’Bannon, Dicken et l’artiste Ron Cobb. Dicken a ensuite sculpté, moulé et construit la créature en utilisant un squelette en métal avec un torse en fibre de verre et en résine. La peau du Facehugger est en latex et présente des détails réalistes, notamment des veines, des rides et des ligaments. La queue flexible est faite de mousse de latex pour lui permettre de s’enrouler autour du cou de la victime. Un fil monofilament dépasse de l’extrémité de la queue et des doigts, qui auraient été tirés pour donner l’impression que le facehugger resserre sa prise. Les jambes comportent des noyaux de fil articulés attachés au squelette. Les sacs en latex de chaque côté ont un poids en forme d’œuf à l’intérieur pour s’assurer qu’ils sont correctement suspendus au visage de Kane. Sur la face inférieure du facehugger, le squelette en métal est exposé. La pièce présente une certaine usure due à l’utilisation et au vieillissement de la production, et Dicken a entrepris des travaux de réparation cosmétique à la surface et aux sacs d’embryons. Le facehugger est décoloré en raison de l’âge, passant d’une couleur de peau pâle à un brun plus foncé. Une partie de la mousse de latex sur la queue s’est écaillée, tout comme une partie du latex sur les pattes. Il est présenté sur un présentoir sur mesure, le gardant dans sa pose emblématique, et est accompagné d’une lettre d’authenticité de Dicken.
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